Les déchets du tsunami et les rejets radioactifs de la centrale nucléaire de Fukushima inquiète l’association « Robin des Bois », qui a partagé ce vendredi ses inquiétudes sur la santé des baleines dans le nord de l’océan Pacifique.
L’association française qui avait déjà fait état d’inquiétudes au sujet desdéchets du tsunami, souhaite que la Commission Baleinière Internationale (CBI) charge son comité de scientifiques d’un suivi des conséquences du tsunami sur les baleines situées dans le nord de l’océan Pacifique. La Commission baleinière est une instance internationale chargée de réglementer la chasse et la conservation des baleines. Elle compte 89 pays membres, et doit se réunir à Jersey la semaine prochaine.
Les menaces que font peser sur les baleines, les tonnes de déchets qui ont été emportés dans l’océan Pacifique après le tsunami du 11 mars dernier, inquiète l’association. Certains déchets plastiques pourraient par exemple, être avalé par les cétacés, qui peuvent être trompé par les aspects de ceux-ci. Les conséquences de cet exemple peuvent être multiples : suffocations, occlusions intestinales, contamination, perte de désir instinctif et de mobilité…
L’association dénonce aussi les polluants chimiques rejetées comme les résidus de pesticides et de médicaments, les hydrocarbures, les métaux lourds ou encore les rejets radioactif qui ont suivi la catastrophe de Fukushima. Etant au sommet de la chaîne alimentaire marine, les baleines se trouvent encore plus exposées.
Selon « Robin des Bois », les espèces de baleines qui seront les plus touchées sont les petits rorquals commun qui se situent dans la mer d’Okhotsk et le nord-ouest de l’océan Pacifique, les baleines à bosse et les baleines grises situées aussi dans le nord-ouest de l’océan Pacifique ainsi que les baleines franche qui se situent dans le nord de l’océan Pacifique.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire