jeudi 13 septembre 2012

Pétition pou la défense des libertés et contre la prise de contrôle des multinationales

Voici une pétition mis en ligne par Avaaz qui est un mouvement citoyen de 15 millions de membres qui mène des campagnes visant à ce que les opinions et les valeurs des peuples influent sur les décisions mondiales. ("Avaaz" signifie "voix" dans de nombreuses langues). 


Chères amies, chers amis, 



Nous avons 3 jours pour empêcher une prise de pouvoir top secrète de multinationalesqui attaque tout, de l'Internet gratuit aux protections environnementales. Cet accord est négocié en ce moment par des bureaucrates soutenus par des lobbyistes. Cliquez ci-dessous pour gâcher leur RDV secret en signant notre appel mondial à tuer l’accord TPP:

Signez la pétition
Des informations ont filtré sur une prise de pouvoir top secrète de multinationales d’une envergure inédite -- elle s’attaquerait à tout, de l’Internet gratuit aux lois sur la santé et l’environnement, et nous n’avons que 3 jours pour la stopper.

Ces firmes ont un nouveau plan pour se remplir les poches: un pacte mondial géant, assorti d'une cour internationale pour l’appliquer. Elaboré dans l'ombre depuis des années (même nos législateurs n’en savaient rien!), il s’est abattu comme une étoile de la mort sur nos démocraties. Les lobbyistes des géants du tabac, du pétrole, de l’industrie pharmaceutique, et de près de 600 autres firmes planchent sur le texte final -- qui porte notamment un coup aux lois anti-tabac, aux médicaments bon marché et à la liberté d’expression sur Internet.

Le dernier round des négociations s'achève dans 3 jours -- mais une levée de boucliers mondiale peut ébranler la confiance des négociateurs et saborder les tractations. Soyons un million de citoyens contre le coup d’Etat des firmes multinationales. Signez la pétition ci-dessous et envoyez-la à tous vos proches. Avaaz projettera le compteur de signatures sur les murs de la conférence -- afin que les négociateurs assistent en temps réel à la destruction de leur plan:

http://www.avaaz.org/fr/3_jours_pour_stopper_les_multinationales_etoile_de_la_mort/?buwnZcb&v=17878

Cet accord, le Partenariat Trans-Pacifique (TPP en anglais), vise à soustraire les investisseurs des lois de nos Etats, y compris les lois d’intérêt général. D’après les différentes versions qui ont fuité, le TPP baisserait notamment les seuils de protection de la qualité de l’air et de l’eau, et compromettrait la liberté sur Internet aux États-Unis ainsi que la production de médicaments génériques à faibles coûts. Pis, les législateurs qui ne se plieraient pas aux règles du TPP seraient traduits devant un tribunal international – permettant aux firmes de poursuivre nos Etats en justice si nos anciens gouvernements ont fait passer des accords en secret!

Les négociateurs prétendent qu’il ne s’agit que d’un accord commercial visant à faciliter les investissements. Or la version de l’accord qui a fuité impose de graves limites à la protection des citoyens. Cet accord "commercial" est nettement faussé pour faire passer les profits des grandes entreprises avant les besoins des citoyens -- rien de surprenant car il a été rédigé en catimini par plus de 600 lobbyistes d’entreprises, sans concertation avec des groupes de citoyens.

Mais il y a de l’espoir: l'Australie s’oppose au système de tribunal international, et la Nouvelle-Zélande refuse le démantèlement de ses régulations tarifaires qui rendent les médicaments bon marché. Une opposition publique massive dénonçant la capacité des pays à appliquer le TPP au niveau national peut faire dérailler les négociations pour de bon. Signez la pétition et partagez-la sans modération -- les négociateurs assistent en temps réel à la déferlante de notre opposition:

http://www.avaaz.org/fr/3_jours_pour_stopper_les_multinationales_etoile_de_la_mort/?buwnZcb&v=17878

La candidate au Sénat américain Elizabeth Warren a déclaré récemment: "Les multinationales ne sont pas des personnes. Les personnes ont un cœur, elles ont des enfants, elles travaillent, elles tombent malades, elles pleurent, elles dansent. Elles vivent, elles aiment et elles meurent. Et c’est ça qui compte, car nous ne dirigeons pas ce pays pour les firmes, nous le dirigeons pour les citoyens." Atteignons un million de signatures pour empêcher les grandes entreprises de prendre nos gouvernements en otage.

Avec espoir,

Iain, Pedro, Laura, Ari, Emma, Lisa, Luca, Ricken et toute l’équipe d’Avaaz

PS - Avaaz a lancé le Site de pétitions citoyennes, qui vous permet de créer en quelques clics une pétition sur un sujet qui vous tient à coeur. Lancez-vous en cliquant ici: http://www.avaaz.org/fr/petition/start_a_petition/?do.ps.tpp

EN SAVOIR PLUS

Négociations commerciales: une fuite plonge l'administration Obama dans l'embarras (Huffington Post)
http://www.huffingtonpost.fr/2012/06/16/negociations-commerciales-fuite-administration-obama-embarras_n_1602742.html?utm_hp_ref=international

Le TPP, cheval de Troie du copyright américain en Asie Pacifique (PC INpact)
http://www.pcinpact.com/news/73424-le-tpp-cheval-troie-copyright-americain-en-asie-pacifique.htm?vc=1

Levée de boucliers numériques contre le Partenariat Trans-Pacifique (Pieuvre.ca)
http://www.pieuvre.ca/2012/07/05/tpp-web-politique/

L'accord de libre-échange transpacifique sera tout sauf libre (The Guardian, en anglais)
http://www.guardian.co.uk/commentisfree/2012/aug/27/pacific-free-trade-deal

Hollywood se met d'accord avec les négociateurs du TPP; les groupes de défense des citoyens sont refoulés de l'hôtel (TechDirt, en anglais)
http://www.techdirt.com/articles/20120131/23161417605/hollywood-gets-to-party-with-tpp-negotiators-public-interest-groups-get-thrown-out-hotel.shtml

Tableau comparatif: TPP versus ACTA (en anglais)
http://infojustice.org/wp-content/uploads/2012/03/table-03222012.pdf



mardi 11 septembre 2012

Les plus grandes villes du monde en 2020

Quelles seront, en 2020, les agglomérations les plus peuplées du monde ? Y aura-t-il d'importants changements par rapport au classement actuel ? Voyage dans les 25 villes les plus peuplées en 2020.
les plus grandes villes du monde en 2020 
Tokyo                       Manille                           
Mumbai                   Los Angeles
Delhi                        Rio de Janeiro
Dhaka                      Istanbul
Mexico                     Shangai
Sao Paulo               Moscou
Lagos                      Osaka/Kobe
Jakarta                     Pékin
New York                 Lima
Karachi                    Paris
Calcutta                  Tianjin
Buenos Aires         Lahore
Le Caire




                                                                                      
                                                                  

1-Tokyo, Japon


 Population en 2020 : 37,28 millions
 Taux de croissance annuel : 0,34 %

L'indétrônable

La capitale du Japon occupe déjà, et de loin, la place de plus grande métropole du monde. En 2006, sa population était de 35,53 millions d'habitants, soit près du double de New York, qui vient en seconde position. Un quart des Japonais vivent à Tokyo. Son avance est telle que malgré son très faible taux de croissance annuel (0,34 % selon les prévisions), elle ne devrait pas être détrônée. Autre particularité : c'est l'une des rares agglomérations du classement située dans un pays développé.
L'agglomération de Tokyo
Tokyo s'étend sur plus de 7 000 km² et englobe plusieurs grandes villes de plus de 500 000 habitants, comme Yokohama (3,6 millions d'habitants). Sa densité, de 4 750 habitants/km², reste raisonnable par rapport à d'autres grandes métropoles comme Séoul ou Shangai.
Repères
 L'agglomération de Tokyo comptait 31,7 millions d'habitants en 1990.
 Le Japon est aujourd'hui peuplé d'un peu plus de 127 millions d'habitants.
                                                                                       
                                                                                       

2- Mumbai (Bombay), Inde 


Population en 2020 : 25,97 millions
 Taux de croissance annuel : 2,32 %
Plus de 20 millions d'habitants
La métropole de Mumbai, nom officiel de Bombay depuis 1995, était en 2006 la 3e la plus peuplée au monde avec 18,84 millions d'habitants. Mais elle croît rapidement et accueillera, en 2020, près de 26 millions d'habitants. La ville s'étendra-t-elle pour autant en superficie ?
La densité la plus forte au monde
Premier port de l'Inde, Mumbai est un grand centre économique qui continue d'attirer des milliers de nouveaux "urbains" chaque année. La ville de Bombay occupe les 484 km² d'une péninsule à l'ouest du pays, mais son agglomération s'étend désormais sur plus de 4 000 km² sur le continent sous forme d'immenses bidonvilles, comme "New Bombay". Sa densité est de 4 000 habitants au km².
Repères
 250 000 personnes vivaient à Mumbai au milieu du XIXe siècle. Ils étaient 1,6 million en 1941 et 13 millions en 1991.
 En 2007, la population totale de l'Inde est d'environ 1,13 milliard d'habitants.

                                                                        

3- Delhi, Inde


Population en 2020 : 25,83 millions
 Taux de croissance annuel : 3,48 %
Suivre Mumbai de près
La ville indienne de Delhi, située dans le nord de l'Inde, devrait avoir, d'ici 2020, une croissance similaire à celle de Mumbai. Actuellement peuplée de 16 millions d'habitants (c'est la 6e "zone urbaine" la plus peuplée du monde aujourd'hui), elle croît au rythme exceptionnel de 3,48 % par an. Etendue sur 1 300 km², elle a une très forte densité de 11 000 habitants au km².
Dehli et New Dehli
La métropole de Dehli englobe trois grandes municipalités, dont New Dehli, principale zone de croissance. C'est après l'indépendance du pays, en 1947, que New Dehli prend de l'ampleur. Aujourd'hui, elle tente de conserver l'image d'une grande métropole internationale en "délocalisant" ses bidonvilles à plus d'une trentaine de kilomètres du centre. La ville croît donc autant en superficie qu'en nombre d'habitants.
Repères
 En 1941, la "vieille Dehli" comptait 500 000 habitants, contre moins de 100 000 pour la nouvelle ville. En 1991, New Dehli comptait plus de 7 millions d'habitants.
 En 2007, la population totale de l'Inde est d'environ 1,13 milliard d'habitants.

                                                                                  

4- Dhaka, Bangladesh


Population en 2020 : 22 millions
 Taux de croissance annuel : 3,79 %
De la 10e à la 4e place
Avec un peu plus de 13 millions d'habitants, la ville de Dhaka est, avec ses alentours, actuellement la 10e la plus peuplée du monde. Elle devrait connaître une croissance soutenue dans les années à venir, avec un fort taux de croissance de 3,79 %. Plus du tiers de sa population vit dans des bidonvilles.
Une prospérité relative
La capitale du Bangladesh, située au sud du pays, s'étend sur 1 600 km². Sa croissance a commencé alors qu'elle faisait encore partie du Pakistan, de 1947 à 1970, avec l'arrivée de milliers de musulmans en provenance d'Inde, puis s'est accélérée après la seconde partition, en 1971. Aujourd'hui, c'est l'une des régions les plus prospères du pays, notamment grâce au textile, ce qui contribue à accroître sa population.
Repères
 Dhaka comptait 557 000 habitants en 1961.
 Le Bangladesh comte actuellement 150 millions d'habitants.

                                                                          

5- Mexico, Mexique


Population en 2020 : 21,82 millions 
 Taux de croissance annuel : 0,9 %
Mexico rétrogragée
La capitale mexicaine et son immense banlieue perdront, d'ici 2020, trois places au classement. Actuellement 3e métropole la plus peuplée au monde avec 19,24 millions d'habitants, elle croîtra à une vitesse bien moindre que d'autres grandes villes, avec un taux de 0,9 % par an.
Au coeur d'une région très peuplée
Mexico et sa banlieue s'étendent aujourd'hui sur environ 2 000 km², pour une densité d'environ 8 400 habitants par km². La seule ville de Mexico intra-muros compte près de 10 millions d'habitants.
Repères
 Mexico comptait 566 000 habitants en 1910 et 15,5 millions en 1993.
 La population mexicaine s'élève aujourd'hui à 99 millions d'habitants.

                                                   

6- Sao Paulo, Brésil                                                              



 Population en 2020 : 21,57 millions
 Taux de croissance annuel : 1,06 %
Vers une croissance "raisonnable"
Sao Paulo, dans le sud-est du Brésil, était la 5e agglomération la plus peuplée du monde en 2006 avec18,61 millions d'habitants. Elle s'étend sur 2 000 km² et a une densité moyenne de 9 000 habitants au km². La seule ville de Sao Paulo compte près de 10 millions d'habitants.
Une économie attractive
L'agglomération de Sao Paulo est au coeur de l'Etat du même nom, très dynamique économiquement. Plus de la moitié de l'emploi industriel du pays y est par exemple concentré ainsi que le cinquième des ouvriers brésiliens. La ville continue donc d'être attractive et de s'étendre en superficie.
Repères
 Sao Paulo comptait 240 000 habitants en 1900, 579 000 en 1940, 5 millions en 1972 et 12,5 millions en 1980.
 Le Brésil compte 190 millions d'habitants.

                                                                                         

7- Lagos, Nigeria


Population en 2020 : 21,51 millions
 Taux de croissance annuel : 4,44 %
Deux fois plus nombreux en 2020
L'ancienne capitale du Nigéria, au sud-ouest du pays, verra presque doubler sa population d'ici 2020. La métropole comptait, en 2006, 11,7 millions d'habitants, un chiffre qui augmente au rythme effréné de 4,44 % par an. L'Afrique, l'une des zones les moins urbanisées de la planète, effectue en effet un "rattrapage". Dici 2030, c'est sur ce continent que devrait se trouver la majorité des plus grandes cités du monde.
Une croissance anarchique
S'étendant sur à peine 738 km², Lagos a une densité très élevée de plus de18 000 habitants au km². L'extension de la ville est anarchique, rendant confus le plan de Lagos.
Repères
 Lagos comptait 40 000 habitants en 1900 et 665 000 en 1960. Sa population a atteint les 6 millions d'habitants au début des années 1990.
 Le Nigéria a une population de 148 millions d'habitants.

                                                                                                    

8- Jakarta, Indonésie


Population en 2020 : 20,77 millions
 Taux de croissance annuel : 3,03 %
A la huitième place
Actuellement peuplée de 14 millions d'habitants, la capitale indonésienne est et restera à la 8e place du classement d'ici 2020. Elle croîtra pourtant au rythme de 3,03 % par an. Elle s'étend sur 1 300 km² environ, ce qui lui donne une forte densité de10 000 habitants au km².
Les nouveaux quartiers
La ville historique de Jakarta, fondée en 1619 par les Hollandais, a été abandonnée au profit de nouveaux quartiers construits à 6 km de la mer et qui s'étendent aujourd'hui sur plus de 12 km au sud-ouest de la ville.
Repères
 En 1990, Jakarta comptait un peu plus de 8 millions d'habitants. 
 En Indonésie vivent aujourd'hui 235 millions d'habitants.

                                                                                            

9- New York, Etats-Unis


 Population en 2020 : 20,43 millions
 Taux de croissance annuel : 0,66 %
Croissance au ralenti
L'agglomération de New York restera en 2020 dans le Top 10 malgré une croissance faible. Sa population s'élèvait en 2006 à environ 19 millions d'habitants (ce qui en faisait la 4e agglomération la plus peuplée au monde). L'une des spécificités de sa croissance est qu'elle repose en grande partie sur l'arrivée d'immigrés, environ 80 000 par an.
L'une des villes les plus étendues
La métropole new yorkaise s'étend sur une superficie exceptionnelle de 8 700 km², dont 843 km² pour la seule ville de New York, qui regroupe 8 millions d'habitants. C'est la plus grande agglomération au monde en superficie. Le quartier de Brooklyn est le plus peuplé, avec 2,5 millions d'habitants sur 210 km².
Repères
 L'agglomération de New York comptait 2,8 millions d'habitants en 1880 et 5 millions vingt ans plus tard.
 Les Etats-Unis comptent 304 millions d'habitants

                                                                                   

10- Karachi, Pakistan


Population en 2020 : 18,94 millions
 Taux de croissance annuel : 3,19 %
Le "boom" de l'après 1948
Située au sud-est du Pakistan, l'agglomération de Karachi croît à la vitesse de 3,19 % par an. En 2006, elle comptait 12,2 millions d'habitants(13e place du classement) mais en comptera près de 19 millions en 2020. Son expansion après 1948 est notamment dûe au fait qu'elle soit devenue capitale et le seul grand port du pays après sa création.
Une croissance non maîtrisée
La vitesse des changements de Karachi ne permet pas le contrôle de son extension. Elle s'étend aujourd'hui sur plus de 3 500 km² mais souffre d'un manque d'infrastructures, d'une forte criminalité et d'une disparité importante entre quartiers riches préservés et quartiers pauvres.
Repères
 La mégalopole de Karachi comptait 400 000 habitants en 1947. En 1961, ce chiffre atteignait 2 millions et plus de 5 millions en 1981.
 Le Pakistan compte près de 166 millions d'habitants.
                                                           











vendredi 7 septembre 2012

Les villes les plus polluées du monde




L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), en compilant les données disponibles pour 1 100 villes dans le monde, a pointé les très mauvais résultats de plusieurs villes iraniennes. Ainsi, Ahwaz décroche la plus mauvaise place de ce classement avec, sur une année en moyenne, 372 microgrammes par mètre cube de particules fines dangereuses pour la santé, les PM10. Suivent la capitale mongole Oulan Bator (279 microgrammes), puis une autre iranienne Sanandaj (254 microgrammes). Arrivent à la cinquième place ex-aequo l'indienne Ludhiana et la ville pakistanaise de Quetta, avec 251 microgrammes.

Oulan- Bator Mongolie


Les 10 villes du monde les plus polluées

1. Ahwaz (Iran)
2. Oulan-Bator (Mongolie)
3. Sanandaj (Iran)
4 ex-aequo. Ludhiana (Inde)
4 ex-aequo. Quetta (Pakistan)
6. Kermanshah (Iran)
7. Peshawar (Pakistan)
8. Gaborone (Botswana)
9.Yasouj (Iran)
10. Kampur (Inde)

jeudi 6 septembre 2012

Déforestation



le Brésil annonce que la déforestation baisse et pourtant la foret Amazonienne est en deuil.Des millions d’arbres sont abattus, tronçonnés ou décapités


La déforestation résulte des actions de déboisement puis de défrichement, liées à l’extension des terres agricoles, à l’exploitation des ressources minières du sous-sol, à l’urbanisation, voire à l’exploitation excessive ou anarchique de certaines essences forestières. La déforestation n’est pas un phénomène récent, étant présente dés l’Antiquité.


La déforestation actuelle concerne essentiellement les forêts tropicales.La destruction de la forêt serait responsable de 18 à 20 % des émissions de gaz à effet de serre. C’est un des éléments importants qui causent le réchauffement climatique.

La moitié des forêts de la planète a été détruite au cours du xx siècle.

 Avant l’arrivée des Européens aux États-Unis, près de la moitié de la surface des États-Unis était couverte par une forêt primaire.

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mercredi 5 septembre 2012

incident nucléaire à fessenheim







Un dégagement de vapeur d'origine chimique s'est produit mercredi dans la plus ancienne centrale nucléaire française. Les informations restent contradictoires autour de deux éventuels blessés légers.

Alerte à la centrale nucléaire de Fessenheim dans l'est de la France, où un incident a eu lieu mercredi après-midi. Alors qu'EDF faisait état dans un premier temps de «deux personnes légèrement brûlées à travers leurs gants», le dernier communiqué du gérant de la centrale affirme qu'il n'y a eu aucun blessé.


«Lors d'une manipulation d'eau oxygénée (...), un déversement a provoqué un dégagement de vapeur, qui a déclenché les capteurs de détection incendie», explique l'Autorité de sûreté nucléaire. Avant de préciser qu'«il n'y a pas eu d'incendie». Une cinquantaine de pompiers du Haut-Rhin ont malgré tout été dépêchés sur place.
L'incident, précise, l'ASN, a eu lieu «dans le bâtiment des auxiliaires nucléaires», c'est-à-dire «la partie nucléaire de l'installation (..) accessible en fonctionnement normal».
«Les neuf personnes présentes dans les locaux lors de l'événement ont été examinées et ne présentent aucune blessure», affirme également l'ASN.

«Pas d'enjeu de sûreté»

De son côté , le ministère de l'Énergie et de l'Écologie évoque toujours un «accident du travail qui a entraîné des brûlures légères aux mains pour deux salariés, qui ont été pris en charge médicalement». La ministre Delphine Batho, «s'est entretenue avec l'Autorité de sûreté nucléaire qui lui a confirmé que cet incident est sans enjeu de sûreté», assure le communiqué. Un «rapport complet sur cet événement» a néanmoins été demandé à l'ASN et à EDF.
La centrale de Fessenheim, la plus ancienne du parc électronucléaire français, était au cœur du débat sur la poursuite du nucléaire durant le dernier cycle électoral. François Hollande a alors promis aux écologistes de la fermer d'ici à 2017. Installée au bord du Rhin, elle comprend deux réacteurs de 900 mégawatts qui ont été mis en service en 1977.
Si la centrale n'a pas connu depuis 1989 d'incidents d'un niveau supérieur à 1 (l'échelle internationale des événements nucléaires connue sous le non d'INES qui sert à mesurer la gravité d'un accident nucléaire compte huit niveaux de gravité notés de 0 à 7), elle a cumulé le nombre de ces incidents à partir du début des années 2000, avec un pic en 2007. Cette année, le précédent problème était intervenu le 14 juillet. La centrale avait alors enregistré une «baisse de puissance» d'un de ses deux réacteurs, sans qu'il y ait d'impact sur «la sûreté des installations», précisait alors EDF. en mai, c'était le réacteur n°2 de la centrale qui s'était automatiquement arreté après l'échec d'un exercice.  




Fichier:IncidentsFessenheim.png




la vétustée de cette centrale ne fait aucun doute,c'est la plus ancienne centrale nucléaire française en exploitation (depuis 1977).
l' ASN (autorité de sureté nucléaire) considère qu'il n'y à pas de risques justifiant la fermeture de la centrale. Elle a donné son accord en 2011 à la poursuite de l'exploitation de la centrale pour 10 ans supplémentaires
a force de repousser sans cesse la fermeture de ces vieilles centrales nous allons à la catastrophe,un proverbe dit qu'il ne faut pas trop tirer sur l'élastique sinon tu le prends dans la figure,tout à fait ce qui arrive!!

mardi 4 septembre 2012



Le tribunal administratif de Saint-Denis a rejeté, jeudi 23 août, un recours de deux associations de défense de l'environnement demandant de stopper la pêche au requin organisée par l'Etat autour de l'île, jugeant qu'il n'y avait pas "urgence à agir".


Le recours en référé de Sea Shepherd et de l'Association citoyenne de Saint-Pierre,avait pour objet de faire annuler l'arrêter préfectoral autorisant la pêche de 20 requins dans la réserve nationale marine de La Réunion aprés que certains  surfeurs aient fait pression sur les autorités.


la préfecture affirme qu'il ne s'agit nullement de réguler la population de squale mais d'éffectuer des prélévements scientifiques,de qui se moque t on?tuer des requins pour favoriser le tourisme est une honte,surtout que les surfeurs comme beaucoup de touristes se moquent des consignes de sécurité  ce n'est pas admissible que ces animaux subissent la colére et la frustration de ces gens,les réserves marine doivent être des sanctuaires préserver ou l'action humaine doit être minime,nous devons préserver ces rares zones si nous voulons que demain il reste de la vie dans les océans et les mers du globe,sans vie marine pas de vie terrestre!!l'homme a oublié que la vie sur terre a démarrer dans les océans.De plus les requins jouent un rôle trés important dans le milieu marin,ils sont les charognards des mers,éliminer ces animaux conduirait à la catastrophe.La pression humaine doit être régulée et maîtrisée plutôt que celle des requins,tout les gens qui ont un peu plus de cervelle que tous ces décideurs qui ne pensent qu'à leurs intérêts financiers ou politiques doivent se mobiliser contre ces agressions caractérisées contre les requins!!

lundi 3 septembre 2012

Déforestation quelques repéres

Déforestation en Amazonie



Asie et Pacifique
En 2005, la région comptait 734 millions d’hectares de forêts, 3 millions de plus que cinq ans plus tôt. Ces bons chiffres, qui s’expliquent par le plan de reboisement lancé par la Chine, cachent la perte de 3,7 millions d’hectares de forêt par an dans l’ensemble de la région, entre 2000 et 2005.
Amérique latine et Caraïbes
Entre 1990 et 2005, la région a perdu près de 64 millions d’hectares, « soit 7% de sa superficie forestière », souligne le rapport de la FAO. Les pays d’Amérique du Sud sont les plus touchés, à l’exception de l’Uruguay et du Chili, qui ont mis en place des programmes de reboisement à grande échelle ces dernières années.
Europe
Sans surprise, la santé des forêts européennes est bien meilleure. La législation en vigueur dans l’UE « rend extrêmement difficile le déboisement et la conversion des forêts à d’autres usages », selon la FAO.
Amérique du Nord et Mexique
A cause de l’expansion agricole du Mexique, la région représente 2% de la déforestation mondiale annuelle entre 2000 et 2005. Aux Etats-Unis, en revanche, la FAO note « un petit accroissement net de la superficie forestière ».

Déforestation illégale  en quelques chiffres

voici un article sur le site notre planète info* qui donne des chiffres inquiétants sur l'influence du trafic organisé à l'échelle mondiale en ce qui concerne les surfaces et les revenus engendrés par la déforestation illégale.
ce fléau inquiétant met en péril la pérennité des forêts déjà fortement menacées par l'exploitation légale,si rien n'est fait pour lutter èfficacement  c'est à un désastre sans précèdent que nous aurons à faire face et dans une échelle de temps très courte.

deforestation_EF


Dans les principaux pays tropicaux qui bordent le bassin de l'Amazone, en Afrique centrale et Asie du Sud, le crime organisé est responsable de 50 à 90 pour cent de l'exploitation forestière. Cet état de fait constitue une menace pour la lutte contre le changement climatique, la lutte contre la déforestation, la conservation de la faune et l'éradication de la pauvreté.
Aujourd'hui, au niveau mondial, le bois issu de l'exploitation forestière illégale représente entre 15 et 30 pour cent du commerce global du bois. Ce sont là les conclusions d'un nouveau rapport du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) compilé en partenariat avec INTERPOL.
Les forêts du monde entier capturent et emmagasinent du dioxyde de carbone, plus connu sous le nom de "carbone vert", et aident à atténuer le changement climatique. Cependant la déforestation, principalement dans les forêts tropicales, est responsable d'environ 17 pour cent de toutes les émissions artificielles de dioxyde de carbone. Cela correspond à 50 pour cent de plus que les émissions combinées provenant des bateaux, des avions et des transports routiers.
Le rapport d'intervention rapide, intitulé « Green Carbon: Black Trade » (« Le carbone vert : un commerce noir »), souligne que ce commerce illicite, d'une valeur estimée entre 30 et 100 milliards de dollars (USD) par an, entrave les efforts entrepris par le programme de Réduction des émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts (REDD). Le programme REDD est l'un des principaux outils servant à favoriser un changement positif en matière de gestion de l'environnement, de développement durable, de création d'emplois et de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Parallèlement à l'augmentation des activités criminelles des bandes organisées, INTERPOL a noté une augmentation des autres types de crimes, tels que les assassinats, les agressions violentes et des atrocités commises contre les habitants autochtones qui vivent dans les forêts ou ces activités ont lieu.
Le rapport conclut que, sans efforts coordonnés au niveau international, les cartels et les bûcherons agissant illégalement continueront leurs activités d'un endroit à l'autre, afin de poursuivre leur commerce lucratif au détriment de l'environnement, de l'économie locale et même du quotidien des peuples autochtones.
Le rapport a été lancé officiellement lors de la conférence mondiale sur les forêts à Rome, lors d'un événement parallèle organisé par le programme ONU-REDD. Le programme ONU-REDD est une coalition formée par le Programme des nations Unies pour l'environnement (PNUE), le Programme des nations Unies pour le développement (PNUD) et l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO).
Le programme REDD, et son initiative élargie « REDD + », fournit des cadres juridiques nationaux et internationaux, des accords, des conventions et des systèmes de certification, afin de réduire l'exploitation forestière illégale et de soutenir des pratiques durables.
Afin de rendre l'initiative REDD + viable sur le long terme, le rapport souligne qu'il faudrait faire en sorte que les revenus des collectivités locales provenant de leurs efforts de conservation soient plus élevés que les rendements provenant d'activités nocives pour l'environnement et les forêts.
"Les financements pour une meilleure gestion des forêts sont une opportunité majeure pour lutter contre le réchauffement du climat, mais aussi pour réduire le taux de déforestation, améliorer l'approvisionnement en eau, réduire l'érosion des sols et générer des emplois verts et décents dans le secteur de la gestion des ressources naturelles", a déclaré Achim Steiner, Secrétaire général adjoint de l'ONU et Directeur exécutif du PNUE. "L'exploitation forestière illégale porte atteinte à ces efforts, elle hypothèque l'avenir durable que les pays et les communautés essaient de se construire, puisque les activités illicites sont plus rentables que les activités légales entreprises dans le cadre de l'initiative REDD+, " a-t-il ajouté.
Toujours selon le rapport, les groupes criminels combinent des tactiques traditionnelles, telles que les pots de vin, avec des méthodes nouvelles comme le piratage des sites Web gouvernementaux. Les opérations illégales sont également de plus en plus sophistiquées : les bûcherons et les exploitants déplacent leurs activités afin d'éviter les efforts de la police au niveau local et international.
Bien que des progrès importants aient été réalisés grâce à des programmes tels que l'initiative REDD +, les efforts visent trop souvent à encourager et créer des incitations pour le commerce légal, sans prendre en compte la lutte contre le crime organisé. Or, malheureusement, les incitations économiques actuelles sont rarement efficaces dans la réduction de la corruption et des activités illégales puisqu'il y a peu de risque d'être appréhendé.
"Le crime organisé transnational est une menace qui pèse lourdement sur l'environnement. C'est un problème qui demande une réponse légale internationale forte, efficace et innovante, et ce afin de protéger les ressources naturelles, de lutter contre la corruption et la violence liée à ce type d'activité qui peut également affecter la stabilité et la sécurité d'un pays", a déclaré M. Ronald K. Noble, Secrétaire Général d'INTERPOL.
Selon les estimations du rapport, l'ampleur du problème est beaucoup plus vaste qu'on ne le pensait initialement. En effet, les méthodes utilisées pour blanchir le bois provenant d'activités illégales sont désormais bien mieux connues.
Le rapport décrit 30 façons ingénieuses de se procurer et de blanchir du bois provenant d'activités illégales. Les méthodes de base consistent à falsifier les permis d'exploitation, à distribuer des pots de vin pour obtenir des permis (dans certains pays, cela peut monter jusqu'à 50 000 dollars pour un permis unique), à exploiter les forêts au-delà des limites terrestres de la concession, et à pirater les sites Web gouvernementaux pour obtenir ou modifier des permis électroniques.
Une nouvelle façon de blanchir des millions de mètres cubes de bois est de mélanger du bois coupé illégalement avec du bois coupé légalement, pour ensuite le traiter et le blanchir dans des scieries et des usines de production de papier, de pâte à papier et de carton. Une autre grosse arnaque consiste à vendre du bois provenant de forêts sauvages comme provenant d'une plantation de bois légale, et souvent en profitant des subventions gouvernementales dont bénéficient ces plantations légales.

Voici quelques exemples précis d'activités illégales

  • En 2008, les autorités brésiliennes ont fait savoir que des pirates, à la solde de cartels actifs dans l'exploitation forestière illégale dans l'Etat brésilien de Pará, ont eu accès à des permis de transport et d'exploitation de bois. La combine a permis de subtiliser 1,7 million de mètres cubes de bois. Le procureur fédéral brésilien chargé de cette affaire a accusé 107 entreprises, 30 têtes pensantes et 200 personnes d'avoir participé à ce trafic. En conséquence, les entreprises ont été poursuivies pour un montant équivalent à près d'1,1 milliard de dollars (USD).
  • En 2009, un autre procureur fédéral brésilien a enquêté sur une escroquerie qui aurait impliqué quelques 3 000 entreprises de l'industrie du bois. Le bois coupé illégalement était « éco-certifié » et exporté vers les Etats-Unis, l'UE et l'Asie.
  • En Indonésie, la quantité de journaux en papier qui aurait été produite avec du bois provenant de plantations est passée de 3,7 millions de mètres cubes en 2000, à plus de 22 millions en 2008. Or, l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) estime que moins de la moitié des plantations ont réellement existées, ce qui reflète une opération massive de blanchiment organisé.
  • A Kalimantan, en Indonésie, un pot de vin pour un permis d'exploitation d'environ 20 km2 coûte entre 25 et 30 000 dollars (USD). Les disparités en matière de déclaration légale d'import-export de bois entre le Kalimantan et la Malaisie sont telles que si l'on compare les déclarations d'exportation avec les déclarations d'importation, il y a trois fois plus de bois exporté que ce qui est officiellement déclaré, suggérant une fraude fiscale massive.
  • En République démocratique du Congo (RDC), plus de 200 gardes forestiers du Parc national des Virunga, célèbre pour ses gorilles, ont été tués au cours de la dernière décennie. Ces derniers sont morts en défendant les frontières terrestres du parc contre des milices qui organisent un commerce de charbon de bois qui rapporterait plus de 28 millions de dollars (USD) par an.
  • Toujours selon le rapport, en Ouganda, des militaires escorteraient des bûcherons peu scrupuleux jusqu'aux points de contrôle frontaliers de la RDC, afin d'approvisionner les marchés locaux en bois coupés illégalement, un bien très recherchés dans la région.
En outre, la baisse apparente de l'exploitation forestière illégale annoncée dans les années 2000 serait en fait due au camouflage des activités illégales trop évidentes en des opérations de blanchiment plus sophistiquées, organisées par des criminels, ajoute le rapport. Dans de nombreux cas, on a observé une multiplication par cinq de la quantité de bois vendue sous le label « bois de plantation » dans les années qui ont suivi l'application stricte des lois contre l'abattage illégal d'arbre.
Dans plusieurs cas, le trafic illégal de bois passant par les postes frontaliers et les ports maritimes représenterait jusqu'à 30 fois les volumes officiels. Cependant, ce type de blanchiment et de contrebande de bois a permis à INTERPOL d'agir plus fermement, puisque la lutte contre la fraude fiscale est plus systématique que la mise en place de mesures pour le respect des lois environnementales (qui est souvent très faible).
Une grande partie de ce blanchiment est possible grâce aux flux importants de fonds d'investissement provenant de l'UE, des USA et de l'Asie. Ces fonds appartiennent à des entreprises impliquées dans le trafic, et servent même parfois à établir des plantations dans le seul but de masquer des opérations illégales d'abattage d'arbre.
Souvent, les fonctionnaires corrompus, les militaires et la police locale percoivent des revenus jusqu'à dix fois plus élevés que ce qu'ils percevraient si ils entammaient les poursuites judiciaires prévues par la lois. Cet état de fait nuit gravement au secteur de la gestion durable des forêts, un secteur où les investissements et les subventions incitant les revenus alternatifs sont pourtant tant nécessaires.
INTERPOL et le PNUE, via le centre GRID-Arendal en Norvège, ont mis en place un projet pilote, appelé LEAF (aide à l'exécution de la loi sur les Forêts), pour développer un système international de lutte contre le crime organisé. Le projet est financé par l'agence gouvernementale norvégienne NORAD, et est mené en étroite collaboration avec de nombreux partenaires clés.

Pour compléter et amplifier ces efforts, le rapport propose les recommandations suivantes

  • Renforcer et étudier les possibilités de financement pour un programme LEAF à part entière, supervisé par INTERPOL et le PNUE, en collaboration étroite avec l'initiative REDD +, le Consortium international de lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvage (ICCWC) et tous les autres partenaires concernés.
  • Accroître les capacités nationales d'enquête et les capacités opérationnelles nationales grâce à une formation sur la criminalité environnementale transnationale.
  • Centraliser toutes les autorisations de défrichement dans un registre national unique, ce qui facilitera grandement la transparence et les enquêtes en cas de fraude.
  • Classer les régions géographiques en fonction de l'intensité présumée du trafic illégal et restreindre les flux de bois et de produits ligneux (en bois) provenant de ces zones -expédition comprise.
  • Encourager les enquêtes sur les fraudes fiscales, en mettant plus particulièrement l'accent sur les plantations et les usines.
  • Réduire l'attrait des investissements dans les entreprises liées au secteur forestier et actives dans les régions identifiées comme des zones où l'exploitation forestière illégale est endémique. Mettre en place un système de notation évaluant les compagnies qui abattent, exploitent ou achètent du bois provenant de régions connaissant un degré élevé d'activité illégale. Ce système de notation se baserait sur les information d'INTERPOL.

Auteur

Programme des Nations Unies pour l'Environnement

*http://www.notre-planete.info/actualites/actu_3478_deforestation_illegale.php